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Cet article explique mon métier d’aujourd’hui…
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Cet article explique mon métier d’aujourd’hui…
Ma tante par alliance a rejoint nos chers défunts, j’ai commencé avec la proche famille a recueillir des ouvrages en rangeant ses affaires dont « Les caractères » de La Bruyère que j’ai envie de vous faire partager ce soir. Odette était très instruite et a su par son métier transmettre à ses élèves sa passion pour la chimie, mais elle aimait aussi lire, en mémoire de toi nénènne je transmets à nouveau sur ce post ces belles pensées.
La Bruyère a travaillé pendant dix-sept ans avant de publier ce recueil de 420 « remarques », sous forme de maximes, de réflexions et de portraits, présenté comme une simple continuation des Caractères du philosophe grec Théophraste, qu’il traduit en tête de l’ouvrage
Le chapitre 4 s’intitule » DU COEUR » je vais reprendre quelques maximes que j’affectionne plus particulièrement :
Il y a deux maximes sur ce chapitre 4 la 55 et la 56, concernant l’amitié, elle explique que l’amitié peut se construire sur un rang ou par intérêt (personnel) et que cette amitié ne peut durer ou se construire durablement. Elle finira par abuser de l’autre ou de sa confiance, se fera craindre et deviendra son ennemi. Je pense effectivement qu’une amitié est précieuse quand celle ci est dénuée complètement d’intérêt, malheureusement pour ma part j’ai été déçue très souvent par ce genre de raisonnement.
Vous pouvez réagir, ouvrir votre coeur et me faire part de votre expérience en amour et / ou en amitié
Chaleureusement vôtre…
Le Dégoût, une des 5 principales émotions à repérer dans notre quotidien, elle indique l’écoeurement que quelque chose a été dépassé, nous écrase ou se révèle insurmontable.
Le dégoût cache souvent une réalité que nous refusons de nous avouer. Il se peut qu’une personne ayant la phobie des araignées par exemple puisse refouler des pensées ou souvenirs inavouables qu’on préfère transférer sur ces petits animaux cette réalité.
Cette émotion peut contenir d’autres sentiments mêlés comme la colère, la peur, de la tristesse, il faut consacrer du temps pour traverser ces émotions, ses couches émotionnelles, car ce n’est qu’ensuite qu’on pourra découvrir ce que cache en nous le dégoût.
C’est à mon avis, une des émotions qui est la plus sournoise, il faut avoir une fine intuition et une analyse experte de la personne qui ressent du dégoût vis à vis d’une chose, ou être vivant, situation précise …
Il est important de prendre conscience que le dégoût permet à notre être de poser des limites entre ce que nous voulons et ne voulons pas. Apprendre à se respecter, c’est s’écouter, s’aimer. Quand cette émotion arrive dans votre quotidien, il est primordiale de la regarder, votre inconscient vous parle de ce qui est caché au fond de vous que vous n’osez pas voir.
La somatothérapie et ma pratique peut vous aider à y parvenir, je demande si le patient ressent des douleurs corporelles ou sensations durant cette émotion ressentie tel que le dégoût. Le corps est un excellent indicateur et souvent le porte parole de votre inconscient.
Chaleureusement vôtre…
Une citation peut vous permettre d’en comprendre le sens
La peur, est déclenchée par la perception d’un danger éventuel à venir . C’est une projection mentale dans le futur, mais la plupart du temps ce sont des scénarios qui tournent dans notre mental et qui ne se réalisent jamais.
La peur peut être utile car elle mérite de nous signaler un probable danger et donc à nous en protéger.
Le courage consiste à dominer sa peur et à s’en servir utilement au lieu de la refuser ou de la nier. Il n’y a que l’inconscient qui n’a jamais peur.
Dans un premier temps il est indispensable d’identifier si il s’agit d’une peur rationnelle ou irrationnelle
Une peur rationnelle signale un danger réel, et on doit absolument tenir compte d’elle, comme ralentir quand on voit des enfants au bord d’une route.
Une peur irrationnelle est celle qui va au delà de toute logique rationnelle, elle nous paralyse, comme avoir peur de parler en public.
On peut se poser ces questions :
C’est prendre conscience de la situation lié à la peur que nous ressentons, se poser la question de l’implication personnelle dans cette situation, nous pouvons ensuite l’interpréter, et regarder l’importance que nous lui accordons, pour conclure le raisonnement regarder la vraisemblance de l’interprétation.
Bien entendu il est assez difficile de raisonner ainsi dans notre quotidien, mais une petite série de questions à vous poser permettent à votre mental et corps émotionnel de s’apaiser puis d’adopter une conduite à tenir.
La somatothérapie, peut vous aider à les identifier, par le toucher, nous permettrons à des traumatismes anciens liés à une peur de débloquer votre énergie de vie.
La libération de la peur par le corps permettra à votre être de vous sentir plus en paix et vous donnera un nouvel élan dans votre vie.
L’immobilisme comme la peur est un poison, la routine est en quelque sorte lié à une peur au changement et on constate que ce n’est pas libérateur mais plutôt castrateur.
Chaleureusement vôtre …
Les émotions nous délivrent des messages, à notre conscience d’apprendre à les décoder et à vivre au mieux avec…
Nous acceptons volontiers les émotions agréables, même si on ne constate pas toujours très bien pourquoi nous les ressentons à l’instant T.
Mais en ce qui concerne les émotions désagréables, nous préférons nier leur existence car elles nous gênent, on les considère comme des problèmes, des obstacles. Certaines personnes ont tendance à les cacher, les refouler en se répétant par exemple ces petites phrases : « c’est idiot, mais je ne peux pas retenir mes larmes lorsque je suis contrariée; je ne devrais pas me décourager aussi facilement…. »
Notre société et l’education qui en découle sur nos enfants, nous apprend à paraître les meilleurs, les plus beaux, les plus forts (il y a qu’a regarder les explosions de selfies et des réseaux sociaux), il ne faut surtout pas montrer ses émotions et encore moins en parler, agir autrement serait vu comme un signe de faiblesse.
Nous pouvons commencer à les écouter et à nous en servir pour en sortir de l’ornière et aller progressivement de mieux en mieux au lieu de faire croire que tout va bien en souriant devant notre portable …
Hier au soir, pour vous donner un exemple, j’ai renvoyé aux autres l’image d’une personne triste, c’est ce que l’on m’a dit, et pourtant au fond de moi je ne ressentais pas de la tristesse mais plutôt de la nostalgie, de l’ennui voir même de la paresse.
J’ai essayé de la vivre sans me cacher, sans la cacher aux autres du coup, et avec un certain recul, je me suis aperçue que cet état émotionnel que je traîne avec moi encore ce matin, découlerai du doute.
Peut être que « je préfère ne rien faire plutôt que de courir le risque de ne pas y arriver ? » c’est un sentiment de découragement et d’épuisement qui découle d’une attente qui m’est insupportable.
La solution serait l’action mais je ne trouve pas la force aujourd’hui, la regarder c’est accepter ses faiblesses sans les nier, les regarder et en faire le deuil avant de passer au plan B c’est à dire l’action d’entreprendre le changement.
Quand j’aurai traverser ce désert d’ennui et de nostalgie, l’action passera par différents moyens :
Je me trouve aujourd’hui dans un sentiment d’ambivalence donc de choix.
Tout cela pour vous expliquer, qu’il est important de regarder nos états émotionnels et qu’il peut être très dangereux de les nier et les cacher, tôt ou tard ils reviendront tant que nous n’aurons pas pris la peine de les regarder.
La somatotherapie peut être une aide précieuse à la reconnaissance de vos états émotionnels, le corps ne ment pas, le mental peut quand à lui vous raconter pleins d’histoires.
La tristesse est un sentiment lié à la perte d’un animal, d’une situation ou d’une personne proche, l’absence crée une douleur émotionnelle et nous devenons morose, mélancolique, déprimé, un gros chagrin emplit notre coeur…
Cette émotion nous exprime qu’il y a un manque à combler, un besoin affectif en souffrance.
Notre société et ses codes de conduites nous empêchent souvent de les vivre, alors on se cache derrière un masque « tout va bien » mais l’émotion demeure toujours présente.
En somatothérapie, je compare cette tristesse au « deuil » avec au moins 3 étapes essentielles à traverser :
Le psychiatre Elizabeth Kubler-Ross distingue également des étapes intermédiaires de colère et de marchandage.
Cette émotion est avant tout importante, car une fois traversée viendra l’acceptation et le pardon. Nous expérimentons la vie sur toutes ces formes « bonnes et mauvaises », et je pense profondément que chaque situation n’est pas un hasard, il est préférable de transformer les situations désagréables en moins douloureuses pour s’épanouir à ce qui nous paraît le plus juste pour nous.
Le dessin animé Vice et Versa est tout à fait adapté aux enfants en quête d’apprentissage, ils peuvent grâce à ce support en autre développer leur intelligence émotionnelle. En ce qui me concerne je ne me lasse pas de le regarder avec ma petite Alice, il explique bien tout ce que je viens d’écrire dans cet article.
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont souvent associées à une activité accrue dans la poitrine, en raison des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. En outre, le dégoût est plus souvent associé à des sensations au niveau du système digestif et de la gorge alors que la tristesse est liée à une moindre activité des membres inférieurs.
En somatothérapie, je me concentre sur la cage thoracique, les jambes et les bras doivent être liés pour faciliter la libération énergétique, je l’ai souvent constaté, quand la tristesse est là, les jambes sont absentes, le poids se situe au niveau de la poitrine.
Libérer le corps, c’est aussi libérer son esprit et l’aider à s’envoler vers d’autres expériences.
La colère c’est comme un volcan qui sert à repousser une menace ou un trop plein d’énergie. C’est un sentiment de puissance intérieure, pour se faire écouter et se faire respecter, ou bien d’imposer un équilibre dans une relation avec autrui.
La colère signe une insatisfaction, elle apparaît quand l’équilibre est rompu, elle est légitime car elle permet de poser ses limites pour ne pas être envahi, ainsi on délimite ainsi son territoire tout comme « une lionne ».
La colère est le résultat d’une frustration, elle apporte un surplus d’énergie pour chasser l’intrus ou pour se faire respecter. Lorsqu’elle est légitime, il ne faut pas la retenir, ce sont des colères « saines »
La colère c’est un barrage, une barrière que l’on met pour repousser les envahisseurs hors de chez soi.
La rage, la révolte, la violence et l’antagonisme ne sont pas des colères, ce sont des variantes dites « malsaines » car elles nous minent, elles sont destructrices pour nous et les autres.
Une vraie colère est la plupart du temps nécessaire, il faut tout de même savoir quelque peu la contrôler pour ne pas se laisser déborder par celle ci afin qu’elle ne se transforme pas en violence par exemple.
Des colères refoulées peuvent à long terme altérer votre santé.
Dans le corps humain, le foie à trois fonctions essentielles :
Pourquoi je vous parle du foie me direz vous ? car :
D’un point de vue énergie chinoise le foie est relié à la colère : (ref :nantes-shiatsu.fr)
Le foie, organe émotionnel
L’énergie du foie est par excellence une énergie montante : visualisez quelqu’un en colère, émotion liée au foie : on l’imagine plus facilement sautillante ou bondissante que « plombée ». C’est le même processus qui se passe lorsqu’une personne rougit face à une situation inconfortable ou difficile. Dans un tel cas, au lieu de faire circuler harmonieusement l’énergie dans le corps, le foie s’agite puis se bloque (plus ou moins selon l’intensité de l’émotion). Un peu comme un cocotte-minute, il rejette le trop plein d’énergie vers la tête. C’est ce qui explique cette sensation de chaleur et d’empourprement du visage. C’est ainsi que le foie est considéré comme l’organe des émotions. Dès qu’une émotion nous traverse, le foie en est affecté et s’agite à la hauteur de la force de l’émotion favorisant la montée de l’énergie vers le haut du corps. On comprend alors toute l’importance d’une bonne gestion de ses émotions pour rester en bonne santé qui garantit cette libre circulation du qi du foie.
C’est à partir de ce principe que l’on peut combattre une trop grande une trop grande émotivité ou mieux gérer ses émotions : au travers de techniques qui vont chercher à freiner la montée de l’énergie vers le haut de la tête.
L’énergie du foie est également une énergie qui va vers l’extérieur : on dit qu’elle est expansive. C’est elle qui nous pousse à créer des liens avec notre environnement et nos semblables. Ainsi, l’énergie du foie a lien avec l’affirmation de l’individualité de la personne, l’affirmation de son point de vue face au monde. D’une manière plus large, elle comprend également la capacité créatrice. Les personnes créatrices ont généralement un foie particulièrement actif – et parfois les déséquilibres qui vont avec…
L’expansivité de l’énergie du foie supporte mal la contrainte. Ainsi, si cette expansivité est contrariée, l’énergie du foie va être affectée et la fonction de bonne circulation du Qi va en être altérée, générant de puissants déséquilibres. C’est notamment le cas dans la vie sociale qu’elle soit familiale ou professionnelle lorsque l’individualité de la personne est niée par des situations d’irrespect, dévalorisantes ou humiliantes, ou encore par des processus de double-contrainte.
Faute de pouvoir s’exprimer vers l’extérieur, l’énergie se retourne contre la personne elle-même et se stocke dans le foie et se transforme alors en colère rentrée, en culpabilité, en ressentiment ou encore en frustration. A un niveau élevé, elle peut également mener à des phases dépressives. Le plus souvent, cette compression de l’énergie du foie s’exprime par des irritations soudaines, des poussées de colère, des tensions musculaires, des maux de tête, des insomnies.
En somatothérapie, et grâce à quelques techniques du toucher et à une écoute active, nous aidons les patients à évacuer cette énergie refoulée afin qu’elle puisse s’exprimer sainement, une fois celle ci exprimé le patient se sent à nouveau libéré et récupère un équilibre qui lui permettra ensuite de voir une situation ou une personne d’un autre point de vue, et donc passer à autre chose de plus constructif.
Il y a les « émotions de base »
Les émotions secondaires, la nostalgie par exemple, sont des mélanges des émotions de base. On parle également parfois d’émotions mixtes pour nommer les émotions secondaires. Par exemple, d’après « Paul Ekman » la honte est une émotion mixte, à la base un mélange de peur et de colère
Cette rosace est claire et présente les émotions de base, ainsi que celles décrites comme secondaires ou mixte. Roue des émotions de Robert Plutchik.
Les émotions nous renseignent à chaque instant de notre vie, elles sont multiples et variées, il ne faut pas considérer qu’il y a de bonnes ou de mauvaises émotions, je dirai qu’il y a que des émotions agréables, désagréables voir neutre pour certaines.
Ces émotions nous informent sur ce que nous sommes entrain de vivre. Si nous savons en tenir compte et les observer, les ressentir en pleine conscience, elles nous aideront à entretenir ou a corriger notre équilibre intérieur.
Suivant mes articles précédents, que diriez vous ? émotion agréable, désagréable ou neutre ? un petit test chez vous 🙂
La fatigue est souvent un des premiers signes d’avertissement de notre refus émotionnel. C’est aussi la preuve que nous faisons beaucoup d’efforts pour empêcher une émotion de sortir.
Cette émotion est très forte et difficile à contenir, c’est la raison pour laquelle nous sommes fatigués.
C’est une réaction de trop plein dont il faut absolument trouver le sens, le pourquoi, l’objet.
La fatigue cache bien des maux…
Notre corps et notre psyché a besoin de repos, d’un lâcher prise, d’un moment pour se poser physiquement ou peut être dans certain cas le besoin de s’exprimer et de lâcher l’émotion trop forte à contenir.
Des douleurs chroniques peuvent apparaître si les mots ou le repos n’est pas accordée par la personne fatiguée, la somatothérapie peut vous aider à vous sortir de cette fatigue avant qu’elle devienne chronique et destructrice.
La Fierté permet de reconnaître la valeur des efforts fournis et ouvre la porte à de nouveaux challenges, à de nouvelles occasions de se dépasser.
Elle récompense les efforts fournis pour réussir. J’ai voulu faire un effort, j’ai réussi ce que je désirais.
La Fierté ne doit pas être confondue avec de la vantardise, de l’orgueil ou de la vanité. Il arrive que des personnes jalouses tentent de déformer cette émotion en la qualifiant d’orgueil, pour ne pas tomber dans ce piège, rappelons nous que se vanter, c’est se glorifier à tort ou avec excès et que l’orgueil consiste à s’attribuer des valeurs exagérées ou qu’on ne mérite pas.
Ces questions vous aideront à y faire la distinction :
De quoi exactement je suis fier ?
Quelles sont les limites que j’ai réussi à dépasser ?
Comment et pourquoi y suis je arrivé ?
Qu’y a t’il à améliorer ?
Que faut ‘il continuer de cultiver ?
La fierté comme le contentement renforce notre confiance en soi, mais il faut rester vigilant à ce que ses efforts restent importants et glorifiants pour soi et non pour les autres ou le regard des autres.