Auteur/autrice : altruiste

 

Cette émotion signale une peur imprécise et diffuse sur l’instant, c’est un mécanisme psychique d’évitement qui contient à la fois de la peur et une grande part de stress.

Elle s’exprime et se repère assez facilement au niveau des maux du corps qui suffit d’écouter et de ressentir : noeud à l’estomac, tension physique, gestes nerveux, tics, affolement intérieur, etc…
Plus l’anxiété grandit plus elle embrouille notre esprit, et on n’y voit plus très clair sur la raison de ce stress soudain ! de ce fait elle nous rend nerveux et gêne la concentration.

Il y a certes un refus mais on peut l’identifier sans trop d’effort, pour cela il suffit de prendre une ample respiration pour se centrer et se poser les bonnes questions :

• Dans cette situation, de quoi ai je peur ?
• Qu’est ce que je voudrais ne pas voir ?
• Qu’est ce qu’il me serait le plus pénible dans cette histoire ?

La découverte de l’élément perturbateur qui crée l’anxiété de l’instant disparait très vite après avoir répondu à l’une de ses questions voir toutes 🙂 la réponse apporte soulagement et une détente immédiate.

Maintenant que je vois clairement l’origine de mon anxiété, je me sens plus confiant et sûr de moi, je ferai de mon mieux; je tente l’expérience et on verra !

Je peux l’observer à travers mes enfants, par exemple avant une évaluation scolaire, c’est assez typique. Une verbalisation « j’ai peur de ne pas réussir mon devoir de Maths demain  » ensuite des jambes qui tremblote, une agitation, la voix qui change,  se mordiller les ongles en autre. Il suffit alors de poser la question « Qu’est ce qu’il te serait le plus pénible dans cette histoire ? »
Ma fille ainée me répondrait dans la plupart des cas (tout peut encore évoluer),  » je ne veux pas avoir une mauvaise note »
La réponse à lui apporter serait  » As tu bien appris ta leçon de maths ? si oui tu feras de ton mieux et il est fort possible que son anxiété s’atténue voir disparaît car elle aura repris confiance dans ses capacités de restitution.Je l’appréhende de cette façon avec mes enfants, cela n’empêche pas les états anxieux mais cela les apaise et les rends moins désagréables sur l’instant.

A l’âge adulte il suffit de se poser ces questions à soi même et je vous assure que cela fonctionne assez bien 🙂

Chaleureusement vôtre

 

 

 

Aujourd’hui je vais poser des mots sur la frustration, une variante de la colère, c’est lorsqu’on le veut dire quelque chose et qu’on ne se sent pas écouter.
Dans ce cas, la personne va avoir tendance à répéter, insister, et parler plus fort jusqu’à ce qu’on lui réponde.

L’envie se transforme en frustration lorsqu’un sentiment d’injustice vient s’y ajouter.

La frustration apparaît quand on pense qu’on a pas reçu son dû, sa part, ou ce qu’on attendait. Elle provoque ensuite des émotions comme le mécontentement, la colère, la jalousie, ou la tristesse….

La frustration attribue la responsabilité aux autres, par la critique, elle n’aime pas faire des efforts, elle préfère les solutions faciles.
« Je n’ai jamais de chance » ou encore « C’est un autre qu’on a choisi à ma place »

La personne se positionne en victime des autres, des évènements ou de la vie en générale.

Que veut nous exprimer la frustration ? en un mot je dirai « un manque non satisfait »

Ma pratique et les outils de somatothérapie peuvent aider à identifier ce « manque non satisfait » pour sortir de la frustration, c’est un processus qui en premier lieu passe par le questionnement et dans un second temps par l’introspection.

Le besoin insatisfait est le carburant de la frustration. Il est donc essentiel de le repérer. Il restera ensuite à découvrir pourquoi je n’arrive pas à faire ce qu’il faut pour obtenir ce qui me manque.

 

 

La joie est une émotion ou un sentiment de satisfaction plus ou moins durable, qui affecte l’être entier au moment où ses aspirations, ses ambitions, ses désirs ou ses rêves viennent à être satisfaits d’une manière effective ou imaginaire. « Wikipedia »

La joie est une émotion agréable qui correspond à la satisfaction d’un besoin, il ne se conjugue qu’au présent car il ne peut être que momentané. Le plaisir et la joie est une sorte de récompense qui arrive dans l’instant après un effort ou une attente.

La joie selon l’intensité attendue et ressentie, annonce l’achèvement plus ou moins rapide d’un désir ou d’une attente. Le plaisir précède la fin de quelque chose, il ne peut pas se stocker, c’est un sentiment éphémère et précieux, c’est d’ailleurs tout ce qui en fait sa valeur.

Je me souviens de moments de joie dans mon existence, mais alors le plaisir ne sera pas le même, ce sera plutôt de la nostalgie.

Cette émotion est si intense et fugace qu’elle doit se vivre pleinement et dans l’instant présent.

Samedi dernier, je suis allée à l’anniversaire de mon amie « Marie », à l’idée de la retrouver et de partager cette soirée auprès d’elle, ses amis et famille, la joie m’a envahie dés mon lever, j’étais à cet instant dans l’attente de la retrouver.
Quand je suis arrivée à cette soirée, je me suis sentie heureuse et ravie de la voir sourire. La joie était palpable, elle est repartie et revenue de manière fugace durant toute cette soirée d’anniversaire ponctuée de belles surprises.
Ce moment pour mon amie comme pour moi restera un souvenir heureux et précieux car l’emotion « Joie » était bien présente à cet instant.

Et vous ? … un souvenir, un témoignage

Chaleureusement vôtre.

 

Travailler sur soi et sur la mémoire du corps, c’est traverser plusieurs couches, les unes après les autres, pour pouvoir atteindre, au fond de notre être, la blessure initiale qui fait aussi ce qui nous sommes.

C’est comme un oignon dont on enlève les pelures une à une, il se peut que l’on puisse y verser des larmes.
Selon Myriam Brousse, nous aurions quatre couches :

• La couche intellectuelle : celle du dessus, celle qui réfléchit qui analyse, qui argumente et qui veut savoir et comprendre
• La couche émotionnelle : celle en dessous de l’intellect : celle qui réagit, qui bouillonne, qui sanglote et qui exulte…
• La couche sensorielle : celle qui vient en dessous de l’émotionnelle, là ou l’on frissonne, grelotte, tremble, les sensations approchent de ce que dit le corps, cela peut être éprouvant.
• Le Mur : dit le « forage » des trois premières couches ; il s’agit tout simplement – mais cela s’avère difficile ! de baisser la garde, les gardes, pour prendre le risque de se retrouver au coeur de soi même, face à ses blessures et à l’impact initial pour se libérer enfin de ce qui peut nous empêcher de grandir. A ce moment là seulement nous atteignons la couche physique, c’est accepter de prendre le risque d’écouter vraiment son propre corps avec toutes ses mémoires.

Un chemin vers la liberté, avec des prises de conscience qui permettent de relier des événements à des schémas que nous entretenons.

VOIR-ACCEPTER-DESACTIVER ET TRANSFORMER…

 

 

 

 

 

 

Bonjour à ceux qui viendront visiter mon site, vous serez les premiers à le découvrir et je vous remercie d’avoir pris la peine de le visiter.
Mon amour depuis 20 ans est un passionné du WEB et des nouvelles technologies en règle générale, c’est mon mari qui m’a accompagnée à la réalisation de celui ci, un grand merci à lui d’être à mes côtés.
Les textes et le choix des photos sont de ma réalisation, cela fait plusieurs jours que je cogite, je souhaite que cela vous plaise ?!
Avant toute chose, j’espère avoir été claire sur ce qu’est la Relation d’aide par le Toucher ?
J’alimenterai ce journal de façon régulière  selon mon inspiration

A très bientôt

Chaleureusement vôtre …

Sophie « l’altruiste »