La peur, est déclenchée par la perception d’un danger éventuel à venir . C’est une projection mentale dans le futur, mais la plupart du temps ce sont des scénarios qui tournent dans notre mental et qui ne se réalisent jamais.
La peur peut être utile car elle mérite de nous signaler un probable danger et donc à nous en protéger.
Le courage consiste à dominer sa peur et à s’en servir utilement au lieu de la refuser ou de la nier. Il n’y a que l’inconscient qui n’a jamais peur.
Dans un premier temps il est indispensable d’identifier si il s’agit d’une peur rationnelle ou irrationnelle
Une peur rationnelle signale un danger réel, et on doit absolument tenir compte d’elle, comme ralentir quand on voit des enfants au bord d’une route.
Une peur irrationnelle est celle qui va au delà de toute logique rationnelle, elle nous paralyse, comme avoir peur de parler en public.
On peut se poser ces questions :
- Concernant cette peur, qu’est ce qui pourrait m’arriver de pire ?
- Quelle est la chose la plus horrible qui pourrait se produire dans cette situation précise ?
- Cela peut objectivement se réaliser ?
C’est prendre conscience de la situation lié à la peur que nous ressentons, se poser la question de l’implication personnelle dans cette situation, nous pouvons ensuite l’interpréter, et regarder l’importance que nous lui accordons, pour conclure le raisonnement regarder la vraisemblance de l’interprétation.
Bien entendu il est assez difficile de raisonner ainsi dans notre quotidien, mais une petite série de questions à vous poser permettent à votre mental et corps émotionnel de s’apaiser puis d’adopter une conduite à tenir.
La somatothérapie, peut vous aider à les identifier, par le toucher, nous permettrons à des traumatismes anciens liés à une peur de débloquer votre énergie de vie.
La libération de la peur par le corps permettra à votre être de vous sentir plus en paix et vous donnera un nouvel élan dans votre vie.
L’immobilisme comme la peur est un poison, la routine est en quelque sorte lié à une peur au changement et on constate que ce n’est pas libérateur mais plutôt castrateur.
Chaleureusement vôtre …